User:Briling
Code pour les dates Exemple :
Par contre je suis incapable de comprendre pourquoi aucune sous-catégorie juillet existe, je ne comprends pas comment c'est le cas.
Effacez ceci après lecture car cela vous fait apparaitre dans les dates d'août ! --Lediberder 22 août 2007 à 13:16 (CEST)
- Merci de bien vouloir prendre l'habitude, comme c'est l'usage sur les autres wikis francophones, de cesser de m'interpeller ici-même sur ma page perso, mais de collationner vos remarques sur fr:Discussion Utilisateur:Briling. 28 août 2007 à 17:04 (CEST)
Contents
Please tell your bureaucrat about me
(No problem if you prefer to answer me in English)
Bonjour Teutonic,
Tu auras remarqué mon exclusion définitive du meta francophone.
http://da.metapedia.org/wiki/Brugerdiskussion:Briling
Cela juste après que j'ai demandé un essaimage/splittage entre les Bretons proches de la nouvelle droite et les nationalistes plus classiques.
Je suis encore sous le choc car le sysop n'a même pas pris la peine de me prévenir avant de prendre sa décision.
A moins que les choses s'arrangent rapidement là-bas, je me demande si le plus simple ne serait pas d'utiliser le présent meta danois comme un bac à sable pour préparer cet essaimage. Briling 4. sep 2007 kl. 22:03 (CEST)
Mes contributions-fétiches
Pas toujours dans l'esprit de métapédia, je vais répertorier ici-même soit mes propres créations, soit les coups de coeur trouvés ici et là, et qui me plaisent plus particulièrement. 28 août 2007 à 17:09 (CEST)
Sorcières de Triora wikipedia
Par une beau dimanche de mai 27
2007 : sous la présidence du Général José Nicolas Albornoz, membre de l’Etat-major du Président de la République bolivarienne du Venezuela Hugo Chavez s'est tenue le dimanche, à l'invitation de Jean-Claude Martinez et d'Alain Soral, la 1ère Journée du projet alter-national sur le thème : L'Alliance de civilisation Europe-Amérique latine au Cap d'Agde. 28 août 2007 à 17:15 (CEST)
[modifier] coche Petit sigle, prenant souvent la forme d'une croix, et servant à marquer un élément dans une liste, dans un texte, etc...
En ornithologie, la coche est utilisée par de nombreux observateurs afin de noter sur une liste pré-établie les noms des oiseaux sauvages observés dans leur vie ou au cours de l'année. Les amateurs s'adonnant à cette pratique sont ainsi surnommés des cocheurs.
En art militaire, mais aussi pour les prisonniers d'opinion issus de la droite païenne, la coche est alors utilisée pour calculer chaque matin au réveil le temps qu'il leur reste avant la libération. Pour en faire plus facilement le total, chaque cinquième coche sert en fait à barrer les quatre coches précédentes.
fr:catégorie:métapédia militant
De même qu'un article présent sur le seul métapédia avait subi, des pressions, des menaces d'avocat, pour être moins médiatisé, l'expression xxxxx-yyyyyyyy a été retirée de Google suite à une autre demande légale
Pour éviter d'éventuels ennuis judiciaires à métapédia, il convient donc d'éviter d'en donner une définition. Tout juste peut-on rappeler que Raymond Barre, récemment décédé, n'avait jamais pu se présenter à la présidence suite à quelques paroles malheureuses, sinon innocentes.
Anecdote
C'est en visitant début août la version anglaise de métapédia que j'avais rencontré pour la première fois cette expression. Les hommes de loi américains sont tellement plus forts que les nôtres. Ceux autour de leur metapedia avaient donc pondu un texte qui semblait tenir la route à propos de cette expression... un peu comme pour leur en:holocaust.
C'est pourquoi j'ai été surpris de ne plus le retrouver là-bas. Mais peut-être ai-je mal cherché sachant (voir plus haut) que pour une fois le cache-Google ne pourra pas m'aider à le retrouver. 2 septembre 2007 à 10:16 (CEST)~
Charles de Gaulle Un article de Metapedia. Version du 30 août 2007 à 21:10 par Aetius (Discuter | Contributions) (diff) ← Version précédente | voir la version courante (diff) | Version suivante → (diff) Aller à : Navigation, Rechercher Charles de Gaulle (né le 22 novembre 1890 à Lille, dans le Nord – mort le 9 novembre 1970 à Colombey-les-Deux-Églises, en Haute-Marne) était un général et un homme d'État français, qui fut, depuis son exil à Londres, le chef de la résistance à l'occupation allemande
fr:René Guénon
Version du 30 août 2007 à 20:31 par Aetius (Discuter | Contributions) (diff) ← Version précédente | voir la version courante (diff) | Version suivante → (diff) Aller à : Navigation, Rechercher René Guénon est un auteur né le 15 novembre 1886 à Blois et mort le 7 janvier 1951 au Caire. Dans son œuvre il se propose, soit d'« exposer directement certains aspects des doctrines métaphysiques de l'Orient »[1], doctrines métaphysiques que René Guénon définissait comme étant « universelles »[2], soit d'« adapter ces mêmes doctrines [pour des lecteurs occidentaux] en restant toujours strictement fidèle à leur esprit »[3]; il ne revendiqua que la fonction de « transmetteur » de ces doctrines, dont il déclarait qu'elles sont de nature essentiellement « non-individuelle »[4]. Ses ouvrages, écrits en français (il rédigea aussi un article en arabe pour la revue El Marifâ), sont traduits en plus de vingt langues.
Sommaire [masquer]
1 Biographie
2 Œuvre
3 Réception
4 Ouvrages publiés
Biographie
René Guénon est né le 15 novembre 1886 à Blois, dans une famille catholique française. À partir de 1904, alors qu’il est à Paris pour poursuivre ses études, il fréquente et observe le milieu occultiste parisien lié à Papus jusqu’en 1909. En 1911 il est initié, par l’intermédiaire du soufi et peintre suédois Abd al-Hâdî (John Gustav Agelii), à l’ésotérisme islamique et reçoit le nom de Cheikh Abd al-Wâhid Yahyâ. Auparavant, il avait reçu l'initiation hindoue dans une lignée de Shankarâchârya. Après un séjour à Sétif, en Algérie, où il enseignera la philosophie, il revient à Paris et, en 1921, publie son premier ouvrage, l’Introduction générale à l’étude des doctrines hindoues. La même année, il entreprend, dans la Revue de Philosophie, une série d’articles sur l’histoire des doctrines de la Société théosophique qui donnera naissance à son ouvrage Le Théosophisme, histoire d’une pseudo-religion. Entre 1924 et 1929, il donne des leçons de philosophie au cours Saint-Louis, et est remarqué par différents milieux tout en publiant ses ouvrages : Frédéric Lefèvre, rédacteur en chef des Nouvelles Littéraires, Louis Charbonneau-Lassay qui le présente au R.P. Anizan et lui ouvre les portes de la revue Regnabit, Gonzague Truc, Jacques Maritain, etc. En 1930, il quitte Paris et s’installe au Caire, où il demeurera jusqu’à la fin de sa vie, le 7 janvier 1951.
Œuvre
René Guénon publie en 1921 une Introduction générale à l’étude des doctrines hindoues (ci-après "IGEDH"). Il s’efforcera d’exposer au public occidental la métaphysique et la spiritualité orientales, qu’il définira comme « universelles ». Car un des plus célèbres points de l’œuvre de Guénon est cette irréductible différence qu’il établit entre Orient et Occident (titre d’un de ses ouvrages). Son œuvre comprend :
* des expositions de principes métaphysiques (notamment Introduction générale à l’'étude des doctrines hindoues – son premier ouvrage et une introduction à la Tradition en général – L’Homme et son devenir selon le Vêdânta, Le Symbolisme de la croix, Les États multiples de l’être et Les Principes du calcul infinitésimal) ; * des études sur le symbolisme (dans lesquelles entrent les nombreux articles qu’il écrivit pour la revue Le Voile d’Isis, devenue plus tard Études traditionnelles, et plus tard compilés par Michel Vâlsan dans Symboles [Fondamentaux] de la Science Sacrée – voir aussi son dernier ouvrage La Grande Triade et Le Roi du Monde; * des études relatives à l’initiation (L’Ésotérisme de Dante, Aperçus sur l’Initiation et le recueil posthume Initiation et Réalisation spirituelle) ; * des critiques du monde moderne fondées sur ces principes (Orient et Occident, La Crise du monde moderne, Autorité spirituelle et pouvoir temporel et surtout Le Règne de la quantité et les signes des temps, etc.).
René Guénon définit le monde moderne comme étant une dégénérescence de ce qu'il qualifie de « monde traditionnel ». C’est par là, affirme-t-il, qu’est irréductible l’opposition entre Orient et Occident : il ne s’agit pas d’une distinction géographique mais doctrinale. Dans plusieurs livres, il affirme que l’état du monde moderne témoigne de la fin du cycle de l’humanité présente (ce que signalent d’ailleurs selon lui les étymologies des termes Orient et Occident[5]). Il montre la disparition progressive de la tradition dans les sociétés occidentales et le désordre qui en découle, et explique également l’incompréhension existant entre Européens et Orientaux. René Guénon entreprendra une série d'ouvrages dans lesquels il s'intéressera à une explication du monde moderne selon la perspective traditionnelle, et dans laquelle il dénoncera la « pseudo-initiation » qui s'étendait au début du vingtième siècle : il entend dénoncer, par un examen minutieux de leur origine historique et de l'évolution de leurs enseignements, ces organisations qui, selon lui, présentent en Occident de fausses doctrines orientales ou constituent des contrefaçons d'organisations initiatiques traditionnelles[6]. Guénon expose une vue de la Métaphysique qui, écrivait-il, « n'est en rien assimilable à des conceptions scientifiques ou philosophiques »[7] mais est la « connaissance (...) des principes d'ordre universel » ; « absolument illimitée », elle ne peut, selon lui, être « définie » (IGEDH, p. 96). C’est cette Métaphysique qui, par essence au-delà de toute contingence, se trouve à la source même de toutes les traditions, entendues comme émanant essentiellement de la Tradition Primordiale.
Selon la doctrine exposée par Guénon, la « réalisation spirituelle » implique l’identification effective aux états de l'être supérieurs à l’état humain (car l'individu humain n'est pas un système clos), jusqu'à l'« Identité suprême » avec le Principe. Il affirme clairement la nécessité du rattachement à une forme traditionnelle authentique et continuellement vivante depuis son origine, laquelle est nécessairement supra-humaine et souvent caractérisée par une inspiration (p. ex. Veda) ou une révélation (p. ex. Coran). Il met en exergue la fonction de l’intuition intellectuelle (supra-rationnelle) ou spirituelle, « réveillée » par la concentration et la méditation sur les symboles (d’origine supra-humaine) visuels (yantras) ou auditifs (mantras, Noms Divins).
Réception
La revue les Études Traditionnelles, qui succèdera en 1935 au Voile d’Isis, sera le lieu privilégié d’exposition des doctrines traditionnelles, au sens où l’entendait René Guénon, et publiera des travaux de ses collaborateurs directs. Parmi eux, Michel Vâlsan prendra la direction des Études Traditionnelles à partir de 1960.
Selon les milieux que l’on considère, il y aura différentes sortes de réceptions de l’œuvre de celui que Ramana Maharshi appelait The great Sufi[8]. Il sera repris par l'indianiste Ananda K. Coomaraswamy. Il inspirera certains des thèmes de l'historien des religions Mircea Eliade, tandis que le philosophe Umberto Eco critiquera Guénon, représentatif selon lui de « la pensée hermétique contemporaine »[9]. C’est dans les milieux néo-spiritualistes que Guénon trouvera ses principaux adversaires, et il répondra directement à certains d’entre eux de son vivant. L’œuvre de René Guénon intéressera également de nombreux artistes et écrivains, parmi lesquels Raymond Queneau, André Breton , Antonin Artaud ainsi que les membres de la revue Le Grand Jeu.
Ouvrages publiés
* Aperçus sur l'Initiation, (1946) Éditions Traditionnelles, Paris. ISBN 2-7138-0064-1. * Autorité spirituelle et pouvoir temporel, (1952) Guy Trédaniel/Éditions de la Maisnie, Paris. ISBN 2-85-707-142-6. * Introduction générale à l'étude des doctrines hindoues, (1921) Guy Trédaniel/Éditions de la Maisnie, Paris. Sans ISBN. * L'Erreur spirite, (1923) Éditions Traditionnelles. ISBN 2-7138-0059-5. * L'Homme et son devenir selon le Vêdânta, (1925) Éditions Traditionnelles. ISBN 2-7138-65-X. * La Crise du monde moderne, (1927) Gallimard, Paris. ISBN 2-07-023005-8. * La Grande Triade, (1946) Gallimard, Paris. ISBN 2-07-023007-4. * La Métaphysique orientale, (1939) Éditions Traditionnelles, Paris. Sans ISBN. * Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps, (1945) Gallimard, Paris. ISBN 2-07-023003-1. * Le Roi du Monde, (1927) Gallimard, Paris. ISBN 2-07-023008-2. * Le Symbolisme de la Croix, (1931) Guy Trédaniel/Éditions de la Maisnie, Paris. ISBN 2-85-707-146-9. * Le Théosophisme, histoire d'une pseudo-religion, (1921) Éditions Traditionnelles, Paris. Sans ISBN. * Les États multiples de l'Être, (1932) Guy Trédaniel/Éditions de la Maisnie, Paris. ISBN 2-85-707-143-4. * Les Principes du Calcul infinitésimal, (1946) Gallimard, Paris. ISBN 2-07-023004-X. * Orient et Occident, (1924) Guy Trédaniel/Éditions de la Maisnie, Paris. ISBN 2-85829-449-6. * Saint Bernard, (1929) Éditions Traditionnelles. Sans ISBN. * L’Ésotérisme de Dante, (1925) Éditions Traditionnelles. Sans ISBN. * Aperçus sur l'ésotérisme chrétien, Éditions Traditionnelles. Sans ISBN. * Aperçus sur l'ésotérisme islamique et le taoïsme, Gallimard, Paris, ISBN 2-07-028547-2. * Comptes rendus, Éditions Traditionnelles. Sans ISBN. * Études sur l'Hindouisme, Éditions Traditionnelles, Paris. Sans ISBN. * Études sur la Franc-maçonnerie et le Compagnonnage, t. 1, Éditions Traditionnelles, Paris. ISBN 2-7138-0066-8. * Études sur la Franc-maçonnerie et le Compagnonnage, t. 2, Éditions Traditionnelles, Paris. ISBN 2-7138-0067-6. * Formes traditionnelles et cycles cosmiques, Gallimard, Paris. ISBN 2-07-027053-X. * Initiation et Réalisation spirituelle, Éditions Traditionnelles, Paris. Sans ISBN. * Mélanges, Gallimard, Paris. ISBN 2-07-072062-4. * Symboles de la Science sacrée, Gallimard, Paris. ISBN 2-07-029752-7.